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Le nettoyage de la maison de Nathalie – une anecdote de Corinne


A la demande de certains lecteurs et lectrices, je vais vous révéler comment s’est déroulé le nettoyage de la maison de Nathalie.  Une fois que le mari de Nathalie, que nous appellerons Bernard, m’ait contactée pour programmer le nettoyage énergétique de leur maison, nous avons convenu d’une date. En même temps, il en a profité pour me transmettre l’adresse du lieu.

Sachant un peu la force négative qui nous attendait, je proposais à Bernard qui débutait une formation de sourcier, de se joindre à moi afin qu’il puisse mettre en pratique ses techniques avec ses baguettes et pour mieux sentir où pourrait débuter la source sur son terrain, lieu où l’entité avait élu domicile.  Il accepta avec joie et heureux de pouvoir me montrer ce qu’il serait capable d’avoir comme réponse avec ses baguettes.

Le nettoyage de la maison de Nathalie

Le jour J.  Me voici donc devant le domicile de Nathalie et Bernard, une très grande maison familiale toute en pierre, arborée et entourée d’un terrain vallonné avec des dépendances, située dans un petit village pittoresque. Au moment où j’allais sonner pour annoncer mon arrivée, le bruit d’une voiture derrière moi me fit me retourner et un homme, avec une belle assurance, en descendit.  Il s’approcha de moi, me salua en se présentant comme le papa de Bernard.  Je fus étonnée de sa présence car j’avais insisté auprès de Bernard pour que nous ne soyons que tous les deux dans sa maison afin qu’aucune autre personne ne puisse être la cible de ces mauvaises énergies.

Nous ayant entendu, Bernard nous rejoignit et quand à son tour il voulu me présenter son papa, il en profita pour me préciser qu’il était magnétiseur.  Aux vus de ce que Nathalie lui avait raconté au sujet de mes ressentis lorsqu’elle m’avait parlé de sa maison, il a jugé qu’on ne serait pas trop de trois pour affronter tout cela.  Plus on est de fous, plus on rit (mais jaune), vu ce qui nous attendait.

Nous voici tous les trois, à l’intérieur de la maison où nous nous sommes installés quelques instants, le temps de faire le point pour savoir comment on allait s’y prendre puisque déjà, dans un premier temps, il fallait trouver la source car le domaine était quand même assez grand.  Je demandais à Bernard s’il avait un plan de sa maison et que peut-être avec ses baguettes il pourrait déjà tracer sur celui-ci le parcours de la source.  Aussitôt, le plan posé sur la grande table fermière, Bernard entra en action et au fur et à mesure qu’il se déplaçait au-dessus du plan avec ses baguettes, celles-ci faisaient des mouvements de haut en bas, ce qui prouvait qu’il y avait bien de l’eau sur ce terrain.  Une fois qu’on eut tracé sur le plan l’emplacement de cette source, nous voilà partis tous les trois à sa recherche sur le terrain, sans avoir oublié au préalable de poser nos protections.

Trouver nos failles émotionnelles pour s’y infiltrer

On sentait qu’on approchait du lieu fatidique car tous les trois, nous étions remplis de frissons. On commençait à percevoir autour de nous comme une espèce de courant d’air froid, à la manière d’un vortex.  Je compris d’un coup que l’entité nous testait pour trouver nos failles émotionnelles, nos peurs, pour s’y infiltrer et en somme nous posséder ou nous manipuler de l’intérieur.

Le seul qui n’était pas habitué à ce genre de rencontre et qui débutait dans ce milieu fut Bernard.  L’entité se dirigea directement vers lui et Bernard, d’un coup, se mit à exprimer un drôle de son ainsi qu’une grimace qui laissait comprendre qu’une forte douleur était en train de le prendre au niveau de son ventre, comme des spasmes, à en lâcher ses baguettes qui tombèrent au sol.  Son comportement soudain nous interpella et avec son papa nous nous sommes rapidement approchés de lui pour essayer de comprendre ce qui pouvait se passer.  Là, nous avons compris que l’entité avait trouvé les failles de Bernard, son ventre, le lieu des peurs, des doutes, des manques de confiance, qu’il avait déjà depuis la petite enfance et dans cette aventure, Bernard n’était pas trop rassuré car on allait vers l’inconnu.  Aussitôt, avec son papa, nous l’avons entouré de nos énergies comme pour faire un dôme de protection, tellement fort, que je sentais comme si nos corps vibraient.  Bernard accroupi au sol, la tête baissée, les mains sur son ventre, gémissait de douleur.  En même temps que je faisais ce dôme de protection, j’envoyais dans le ventre de Bernard de l’énergie pour y faire sortir les premières semences de l’entité.  Je l’entendis tousser, roter et là, je compris que j’arrivais à l’extraire de son corps.  On attendit quelques instants que Bernard reprenne ses esprits pour continuer notre périple.

Tentative d’intimidation

En fait ce que j’avais compris, c’est que l’entité faisait tout pour nous empêcher d’arriver au lieu où elle se trouvait et qu’elle espérait qu’avec ses petites intimidations nous aurions fait demi-tour.

Cette fois, nous faisions bloc et nous avancions ensemble, toujours guidés par les baguettes de Bernard, jusqu’à un endroit que, probablement, nous n’aurions jamais pu trouver seuls.  Derrière un monticule de terre, on trouva des restes de véhicules agricoles désossés, recouverts d’herbes et de plantes grimpantes qui nous laissaient à peine entrevoir ces restes de machines tellement elles avaient presque tout recouvert.  Je me demandais bien ce qu’on pouvait chercher et trouver à cet endroit.  Le papa de Bernard commença à soulever quelques pièces agricoles et de notre côté le voyant faire, nous nous sommes joints à lui. Nous voilà en train de retourner ce monticule de pièces rouillées quand d’un coup, sous une vieille roue, apparut comme un plaque d’égout et bingo, quand on put la soulever avec des barres trouvées sur place, une source coulait à 1 m au-dessous de nous !!!  On était tellement affairé à fouiller, qu’on en avait presque oublié l’entité, mais pas elle.

Penchée au-dessus de cette ouverture, regardant l’eau couler, je sentis comme une pression très forte sur le bas de ma nuque, tellement puissante qu’elle me fit perdre l’équilibre et c’est le papa de Bernard qui d’un réflexe, m’agrippa le bras pour m’éviter de tomber dans le trou.  A cet instant, je bénis l’idée de Bernard d’avoir convié son père.  J’en ai été quitte pour quelques bleus dus à la pression pour me retenir, mais rien de cassé.

Rituels de dégagement et autres incantations

Il fallait vraiment se ressaisir car on sentait bien qu’elle n’allait pas se laisser faire.  Et là, s’en sont enchaînés des rituels de dégagement, de travail énergétique et des incantations pour l’affaiblir.  Toujours cette espèce de vortex glacial autour de nous et de temps en temps comme des coups d’aiguille nous piquaient certaines parties du corps pour essayer de nous faire lâcher prise. Les plus forts étaient dans le cœur.  Mais nous n’avions pas l’intention de battre en retraite.  Après un moment qui nous a paru interminable, on a commencé à sentir les énergies changer.  On a pu, du coup, baisser l’intensité de notre défense car notre intention n’était pas de partir au combat mais, au contraire, de mettre en place un contact.

Quand l’entité comprit que nous n’étions pas là pour la chasser, elle se laissa “approcher” et nous avons pu lui envoyer des énergies d’amour, un peu comme si l’on montrait le drapeau blanc de la paix.  Je me suis connectée à elle, je l’ai enveloppée d’amour et de douceur car cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas été enlacée, pour la rassurer, pour lui dire que je comprenais sa colère et sa haine, mais que cette famille n’avait rien fait et qu’elle n’était pas responsable des actes d’un de leurs aïeuls.  Je lui expliquais qu’elle ne pouvait pas continuer à “hanter” les lieux et qu’elle serait beaucoup mieux dans la lumière si elle lâchait sa colère.

Retrouver la paix et l’amour grâce au pardon

Je ne sais pas si c’est l’épuisement de toutes ces années à errer, celle du combat ou l’amour qui l’enveloppait mais elle se mit à sangloter et j’en profitais pour lui demander si elle voulait rejoindre la lumière et d’un hochement de la tête accepta.  Ce que je ne lui avais pas encore dit c’est qu’elle devrait faire face à son bourreau pour faire un travail de pardon car la haine, la colère, la jalousie, etc. font descendre notre taux vibratoire. Mais je devais faire remonter le sien.  Je lui ai expliqué comment cela allait se passer, que j’allais faire venir son bourreau mais qu’il ne pourrait plus l’atteindre car j’allais vraiment établir un travail d’âme à âme et que là seuls le vrai et la vérité allaient être mis en lumière pour que ces deux âmes retrouvent la paix dans l’amour. Ce travail ayant pu être fait, cette âme rejoignit la lumière où des guides l’attendaient pour guider son âme dans un “Hôpital” de lumière où elle allait pouvoir se refaire une “santé”.

Tout le temps de ce travail d’aide auprès de ces deux âmes, Bernard et son papa attendaient assis sur la vieille roue d’un tracteur, attentifs à toutes ces énergies qui changeaient et dont ils pouvaient en ressentir, en leur fond intérieur, les étapes. Une fois le travail fini, nous avons refermé l’accès à cette source avec cette même plaque et nous sommes rentrés, un peu sonnés, à l’intérieur de la demeure afin de nous poser devant un bon thé comme une récompense du travail bien accompli. Quelques jours plus tard, je recevais un message m’indiquant qu’il régnait maintenant dans la demeure familiale beaucoup plus de légèreté et de calme.

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