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Remplacer la colère par l’amour – Une anecdote de Corinne


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Remplacer la colère par l’amour. Je souhaite vous expliquer que parfois l’inconscient, lorsqu’il est en manque d’affection dû à un abandon, à un rejet, à l ‘absence d’un des deux parents, peut sans que celui-ci s’en aperçoive, nous empêcher d’être heureux.

remplacer-la-colere-par-l-amourJ’ai été contactée par un homme de 40 ans (nous l’appellerons Jacques) qui m’expliqua qu’il avait une grande sensibilité, qu’il avait du mal, malgré sa réussite professionnelle et sentimentale, à se sentir heureux, que certaines parties de son corps lui faisaient mal et que dès qu’il avait un bonheur dans sa vie cela ne durait pas car il y avait toujours quelque chose de négatif tout de suite après. Comme s’il n’avait pas droit au bonheur.  Lorsque je commençais à me connecter à son âme pour comprendre pourquoi il en était arrivé là, celle-ci m’expliqua qu’il avait une grande colère, parce qu’à l’âge de 17 ans son père est décédé et qu’à ce moment-là, sa mère, qui n’avait jamais été maternelle, lui avait demandé de quitter le foyer car elle en avait déjà bien assez de devoir s’occuper de sa petite sœur trisomique.

Cette âme avait une double colère : elle a vécu le décès de son père comme un abandon et le rejet de sa mère comme une déchirure.  Toutes ces épreuves, Jacques les avait bien enfouies au plus profond de lui et les avait transformées en force pour devenir le meilleur dans son milieu professionnel.  Je commençais par lui faire comprendre que toutes ses souffrances étaient toujours présentes car lui pensait le contraire (ne pas les ressentir pour lui cela voulait dire ne plus les avoir) et qu’il était comme un récipient déjà plein.  Du coup, il n’y avait plus de place pour d’autres sentiments beaucoup plus lumineux. Et que pour accepter le bonheur, on devrait faire un nettoyage intérieur, aller chercher au plus profond tous « ses sacs sombres » et tellement lourds qui l’empêchaient d’élever son taux vibratoire.

Remplacer la colère par l’amour

colere-amourToutes ces années à être dans le contrôle, à ne jamais lâcher prise, lui demandaient beaucoup d’énergie et pouvaient occasionner des baisses d’énergies et des douleurs physiques.  Quand j’ai débuté par vouloir nettoyer la partie de son corps où était enfermée cette colère, ce que lui avait vécu comme un abandon, il y avait des résistances. En effet, son inconscient se disait qu’il ne lui restait plus que cela de son père et que si je le lui retirais, il n’aurait plus rien de lui, même si c’était des souffrances. Pour empêcher cette sensation de manque, il a fallu que je travaille un peu comme un vase communiquant : plus je lui faisais comprendre que tout cela n’était qu’illusion et que j’allais lui placer les vibrations d’amour « du père » aimant et protecteur, plus il me permettait de retirer ses sacs. Il sentait vraiment que certaines parties de son corps n’étaient plus en dualité avec lui.  Petit à petit il se détendait et sentait à l’intérieur de son corps cette nouvelle énergie d’amour comme une sensation de chaleur l’envahir.

Maintenant que le sac de la souffrance du père avait été retiré, il nous restait à retirer celui de la souffrance du rejet de la mère.  Jacques m’expliqua qu’il avait de l’asthme depuis de nombreuses années et à ce moment-là, on me montra que lorsqu’il était un fœtus, dans le ventre de sa mère, celle-ci avait pensé à interrompre sa grossesse. Cette petite âme avait donc eu peur de mourir et avait ralenti sa respiration presque pour faire oublier sa présence, ne surtout pas s’imposer ni déranger.  Ces émotions étaient restées dans ses cellules jusqu’à aujourd’hui.  On ne peut pas changer les expériences de l’âme, puisqu’elle les a choisies pour s’élever mais par contre on peut changer les mémoires négatives en mémoires positives.  Et c’est ce que je proposais à Jacques.

Des mots et des vibrations d’amour

amour-maternelNous avons alors remonté la ligne du temps jusqu’au moment où il était dans le ventre de sa mère. Toutes les émotions et le rejet de sa mère dont cette petite âme s’était nourrie par le cordon ombilical l’avait intoxiqué. Ne pas être désiré, de ne pas être aimé et surtout vouloir lui ôter la vie.  Pour permettre à ses cellules de cesser de s’auto-polluer, avec beaucoup de douceur et beaucoup d’amour, nous (mes Guides, les Maîtres Ascensionnés et moi) avons nettoyé tout l’intérieur car le liquide amniotique apparaissait sombre. Pour lui permettre de devenir clair et lumineux, les Maîtres Ascensionnés ont déposé à l’intérieur comme des petites boules lumineuses contenants tous les mots ainsi que toutes les vibrations que doit recevoir un bébé qui est attendu, désiré, et aimé de la part de sa mère.  Bien-sûr pour cela la Mère Divine s’est présentée à nous d’elle-même pour être la « mère » à travers laquelle ce travail d’amour maternel allait pouvoir se faire et permettre enfin à ce petit bébé d’accepter son incarnation en toute sécurité et amour.

Le travail accompli, ce fut comme une perfusion de toutes ces nouvelles mémoires d’amour qu’on posa dans les cellules des corps physique et éthérique de Jacques et qui allait transmuter toutes ses souffrances et lui permettre ENFIN de s’autoriser à accepter le bonheur car il n’avait plus peur qu’à tout moment cela puisse s’arrêter et en souffrir puisque tout ceci était bien en lui et que pour continuer à le sentir, à le vivre, il suffisait de le cultiver en bénissant chaque jour l’être d’amour qu’il avait accepté d’être, avec cette sensibilité qui lui permettait de pouvoir mettre en avant son côté artistique.

Pas de sort jeté

Il m’expliqua qu’il aurait aimé un deuxième enfant, et que cela était difficile car sa compagne avait fait plusieurs fausses couches, il avait même pensé qu’on aurait pu lui envoyer des (mauvais sorts). Effectivement cela aurait pu être possible, mais pas pour son cas. Je lui expliquai que pour enlever ce blocage, il faudrait que j’aie son épouse directement et que c’était à travers elle que ce travail de déblocage devait se faire. En rentrant chez lui, il expliqua à son épouse le travail qu’on avait fait ensemble, ainsi que celui d’ôter le blocage à travers elle, elle accepta, et dans la semaine elle prit rendez-vous.

Dans la prochaine anecdote, je vous raconterai ce que peut parfois engendrer le fait d’avoir « la mauvaise » place, celle du milieu, au sein d’une fratrie.

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