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Des fausses couches à répétition


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Voilà, rendez-vous pris avec l’épouse de Jacques, que l’on prénommera Sylvie, pour ses fausses couches à répétition.

Des fausses couches à répétition

fausses-couches-a-repetitionLors du soin, au moment où je faisais mon introspection des énergies du corps de Sylvie, je vis une petite fille d’environ 3 ans, debout comme si elle attendait qu’on lui manifeste une attention, une parole, un câlin, etc., mais rien ne venait. Sa maman passait devant elle comme si elle ne la voyait pas. Je distinguai à l’intérieur du cœur de cette petite fille un grand vide. Je sentis en moi une forte intuition et aussitôt je compris qu’elle était l’enfant du milieu dans une fratrie de 3 et qu’on ne lui avait jamais permis de manifester sa place car, après sa sœur aînée, les parents voulaient un garçon.

Par conséquent, Sylvie avait senti, de la part de ses parents, peu de joie et d’amour à sa naissance. Ce fut encore pire lorsque, quelques mois plus tard, le petit frère tant attendu arriva au sein de cette famille et que toutes les attentions et manifestations d’amour furent pour lui.

L’âme errante d’un bébé

ame-errante-bebeÀ ce moment, Sylvie, comme un réflexe de survie ou une manière de se nourrir d’un peu d’attention des vibrations d’amour de sa maman, s’était mise à capter toutes formes d’énergies lourdes et souffrantes lui appartenant à se les approprier pour avoir un peu de sa maman en elle. Ce dont elle ne s’aperçut pas, c’est qu’elle avait capté une âme d’un bébé qui flottait dans les énergies de sa mère, fausse couche qu’elle avait faite avant elle et qui était aussi une fille. Je la retrouvai assise sur sa trompe gauche, trompe qui lui faisait vraiment mal. Elle n’en revint même pas de ce qu’elle avait été capable de faire sans s’en rendre compte. Je la rassurai afin de la déculpabiliser et afin de pouvoir commencer le travail de libération.

Je n’eus aucun mal à faire monter cette petite âme qui n’attendait que de rejoindre « la nurserie de lumière » pour y être accueillie, soignée et dorlotée. Par contre, il fallait que je change les vibrations de la mère qui étaient toujours dans le ventre de Sylvie, mélangées aux siennes. Je les amplifiai d’amour et de lumière afin que Sylvie soit un être unique en elle. Sylvie pleura beaucoup. Ce fut des larmes de libération et d’intégration. Puis elle retrouva un peu de calme. Je remarquai, en plein milieu de ses omoplates, comme une épée sombre qui traversait son jalousiedos pour finir dans son cœur. Elle se plaignait effectivement d’une douleur ressemblant à celle d’une pointe au milieu de ses omoplates et au cœur.

Jalousie de sa sœur

Tenant cette épée, je vis sa sœur aînée. Je lui demandai si celle-ci était très jalouse d’elle et elle me confirma mon ressenti. Cela paraît incompréhensible que la sœur préférée des parents soit jalouse d’elle. Voici l’explication : Sylvie avait une grande lumière de douceur et d’amour en elle. Elle attirait les regards et les attentions de personnes étrangères à la famille parce qu’elle restait toujours elle-même. Cette simplicité d’être naturelle plaisait et réveillait chez sa sœur aînée, qui avait toujours pris l’habitude d’être le centre du monde, une très grande jalousie. Cette jalousie, ainsi que les souffrances de ce rejet, Sylvie, comme le reste, se contentait de les prendre comme « de l’amour » puisqu’au sein de cette famille c’est tout ce qu’on lui accordait. Elle avait fini par croire que, peut-être, ces attentions négatives étaient une preuve d’amour et elle les absorbait.

Se redresser pour devenir vivante

Avant d’ôter l’épée, il fallait faire un travail de dégagement de sa sœur, lui permettre de libérer cette jalousie qu’elle avait afin que cela ne revienne plus sur Sylvie et, surtout, pour que cette sœur accueille dorénavant des énergies d’amour et de pardon. Quand on retira cette épée, se-deployerc’est comme si le corps énergétique de Sylvie n’était plus en position fœtale et il se redressa pour être complètement aligné. Il accepta son incarnation divine dans ce féminin qui n’était plus écrasé ni rejeté. Sylvie allait pouvoir se réaliser sur tous les plans avec tout ce beau travail. Lorsqu’on eut terminé, elle me fit part qu’elle se sentait vivante en elle pour la première fois.

Quelques jours plus tard, je recevais un sms de Jacques : « Nous ressentons et accueillons ce travail comme une délivrance, une renaissance que nous avons décidé de célébrer à Venise ».

Ces deux êtres ont décidé de vivre toutes ces expériences. Elles vont leur permettre d’élever en conscience leurs âmes beaucoup plus vite que d’autres qui n’expérimentent pas ou peu.

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